MUMUYE

Nigeria, west Africa
Neighboring people: Bata,  Chamba , Mama

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Until the 1970s most Mumuye sculpture was misattributed to their neighbors the Chamba. Their style is distinctive, assuming a long narrow pole-like style. They also use bush cow masks like those of their neighbors.
The Mumuye were pushed into their current locale during the Fulani holy wars, which extended from the 17th century into the early 19th century. Along with their neighbors, with whom they have much in common, they fled southwards into the hills of eastern Nigeria where they divided into small communities that remained relatively isolated from one another. The Benue River Valley had very little to offer to Europeans in terms of natural resources, and so they remained relatively isolated from colonialist enterprise.
Mumuye are farmers, although the soil in this area is not exceptionally fertile. During the dry season from October to March nothing can be grown on the desolate scrub-like land. Millet is the staple crop in the region and is used to make flour and beer. The uncertainty of harvests in this region have led to the development of various prayers and offerings that are made during both planting and harvesting cycles in hopes of increasing the annual yield. Hunting is widely practiced to augment the local diet, and game is generally abundant. Each village has its own hunting lands, and permission is required for an outsider to hunt on these lands.
The relative isolation of individual communities remains today. For the most part, small villages are made up of one or two extended families and the spouses who have married into those families. Individual lineages identify with a totemic spirit that is metaphorically embodied in certain animals. Families that might otherwise be unrelated may develop political ties because they both belong the the same spirit. The result of this sort of relationship is a somewhat decentralized power structure that permits the members of each totem group to retain a degree of power.
The totemic groups mentioned above are of primary importance in Mama religion, for a lineage's membership in a certain group is defined by the group to which their ancestors belonged. Offerings and sacrifices are made to the family ancestors to appease them and to thank them, especially during harvest times. The dancing of bush cow masks is known to be a part of a secret society whose main purpose is to ask the ancestors who are associated with the bush cow for abundance and agricultural fertility. The skulls of ancestors are considered the resting place of their souls. Wooden statues that are carved to represent the dead are placed near the skull of the deceased person. It is believed that the spirit is then able to enter the statue which can be transported into the house where it is involved in the daily lives of the living.

By steve foreman ismael 
source  #Africauima 

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STEVE FOREMAN ISMAEL



"Nu Couché"

Artiste: Amedeo Modigliani
Naissance : 12 juillet 1884, Livourne, ItalieDécès : 24 janvier 1920, ParisÉpouse : Jeanne Hébuterne (m. 1917)Enfant : Jeanne ModiglianiInfluences : Pablo Picasso, Paul Cézanne, Henri de Toulouse-Lautrec






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Une toile d'Amedeo Modigliani, Nu couché, considérée comme une des œuvres majeures du peintre italien, a été adjugée 170,4 millions de dollars (158 millions d'euros) chez Christie's, à New York, lundi 9 novembre. Il s'agit d'un record mondial aux enchères pour une œuvre de Modigliani.

La deuxième toile la plus chère vendue aux enchères

Nu couché, peint en 1917-1918, fait partie d'une série de nus créés par l'artiste alors qu'il résidait à Paris. La toile, qui avait fait scandale lors de sa première exposition, a été adjugée sous les applaudissements d'une salle comble, après neuf minutes d'enchères enfiévrées entre sept acheteurs. C'est un enchérisseur chinois qui l'a emporté au téléphone, a précisé la maison d'enchères, qui avait estimé l'œuvre à 100 millions de dollars (93 millions d'euros).
Le tableau devient le deuxième le plus cher jamais vendu aux enchères, après Les Femmes d'Alger (version O) de Pablo Picasso. Cette toile a été adjugée en mai dernier 179,4 millions de dollars (167 millions d'euros), également chez Christie's à New York.


Qui est l'heureux propriétaire du "Nu couché" de Modigliani ?



Liu Yiqian cultive plutôt la discrétion et, jusqu'à présent, c'était un quasi-inconnu hors de Chine. C'est fini ! Le magnat chinois a stupéfait le monde des collectionneurs en s'offrant le Nu couché de Modigliani pour plus de 170 millions de dollars. Et Liu Yiqian a fait une nouvelle fois la démonstration de la puissance financière des collectionneurs chinois, désormais incontournables sur le marché de l'art.

Son histoire tient de l'épopée capitaliste. Âgé de 51 ans, Liu Yiqian est un ancien chauffeur de taxi. Aujourd'hui, il préside le groupe Sunline, est à la tête d'une fortune estimée à 1,38 milliard de dollars par le magazine Forbes et figure à ce titre parmi les super-riches de la Chine communiste. Il a bâti son empire d'abord en jouant à la Bourse naissante de Shanghai dans les années 1990 pour se retrouver, via notamment la finance et l'immobilier, à la tête d'un énorme conglomérat aux activités très diversifiées, incluant chimie et pharmacie.

Une tasse à 36 millions de dollars

Le coup de mardi, s'il est le plus spectaculaire, est loin d'être le premier. Liu Yiqian a commencé à se faire connaître sur le marché de l'art en se lançant dans des acquisitions pour les deux musées qu'il a créés à Shanghai, le Long Museum Pudong et le Long Museum West Bund, ce dernier ayant ouvert l'an passé dans la métropole chinoise. Un porte-parole de l'homme d'affaires a d'ailleurs indiqué mercredi à l'AFP que le Nu couché de Modigliani sera exposé en 2017 au Long Museum de Pudong à l'occasion du cinquième anniversaire de son ouverture.
Liu Yiqian avait déjà acquis en 2014 pour un peu plus de 36 millions de dollars une délicate tasse en porcelaine de l'époque Ming, finement décorée de coqs et de poules. Sa photo en train de déguster un thé dans cette coupe un brin onéreuse avait fait un mini-scandale sur les réseaux sociaux chinois. En avril, le milliardaire s'était offert pour 14,7 millions de dollars un vase bleu de l'époque Song, vieux de 800 ans. Le mois précédent, il avait acquis pour 14 millions de dollars un recueil de calligraphies bouddhistes de l'époque Ming. En 2014 aussi, M. Liu a payé un prix record - 45 millions de dollars - pour un tangka tibétain sur toile du XVe siècle.
Il a justifié certaines de ces acquisitions en invoquant une forme de patriotisme : restituer à la Chine des objets qui avaient été pillés. « Comme les Getty, les Guggenheim ou les Whitneys... Il y a une longue histoire des musées en Occident et peut-être que, maintenant, en Chine, des collectionneurs veulent se faire un nom, pour eux-mêmes et pour marquer l'histoire », avait indiqué à l'AFP à son sujet l'an dernier Clare Jacobson, auteur de Nouveaux Musées en Chine. Une ambition qui n'exclut pas certains ratés. Le personnage s'est retrouvé pris dans une controverse autour de son acquisition, pour 8,2 millions de dollars, d'un rouleau censé être daté de la dynastie des Song (960-1279) : un faux, en réalité, ont conclu des experts chinois réputés.

Éclectisme

L'homme se tient à l'écart des médias, notamment depuis une série du New York Times sur le marché chinois de l'art qui le qualifiait de « nouveau collectionneur ».
Porte-parole du Long Museum, Mme Hu Xiaofei a écarté toute crainte que les autorités chinoises voient d'un mauvais œil le nu de Modigliani qui, il y a quelques années, aurait pu être jugé à caractère « pornographique ». « C'est de l'art, et le devoir du musée, c'est de faire partager à tout le monde les œuvres d'art innovatrices », dit-elle. Son acquisition montre en tout cas l'éclectisme de Liu Yiqian, qui déroule une collection allant des temps anciens à l'époque contemporaine, déclinée avec des artistes chinois comme étrangers. Normal, pour Mme Hu, car le public chinois « ne vit plus dans les années 1970 ou 1980. C'est le XXIe siècle, maintenant ».
+Nu-couché, @nucouché @amedeomodigliani

By steve Foreman
sc: +Francetvinfos +Le Point 





IGBO

Nigeria, west Africa
NEIGHBORING PEOPLE: Ibibio, Ijo, Ekoi, Igala, Idoma, Nupe

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Due to the diversity of the Igbo people, it is impossible to generalize about a pure Igbo art style, which has characteristically been representative of numerous geographical regions. It could be said, though, that most Igbo do carve and use masks, but the function of these masks vary from village to village. They are famous for Mbari architecture.
It is believed that the Igbo originated in an area about 100 miles north of their current location at the confluence of the Niger and Benue Rivers. They share linguistic ties with their neighbors the Bini, Igala, Yoruba, and Idoma, with the split between them probably occurring between five and six thousand years ago. The first Igbo in the region may have moved onto the Awka-Orlu plateau between four and five thousand years ago, before the emergence of sedentary agricultural practices. As this early group expanded, so too did the Igbo kingdom. The earliest surviving Igbo art forms are from the 10th century (Igbo Ukwu), and the fine quality of those copper alloy castings suggest that Igbo society had already achieved a level of technology rivaling contemporary Europeans.

The majority of Igbo are farmers. Their staple crop is yam, and its harvesting is a time for great celebration. They are able to produce yam efficiently enough to export it to their neighbors. With the assistance of migrant labor, they also harvest the fruit of the palm tree, which is processed into palm oil, and exported to Europe in large quantities, making it a fairly profitable cash crop.

The Igbo are a politically fragmented group, with numerous divisions resulting from geographic differences. There are also various subgroups delineated in accordance with clan, lineage, and village affiliations. They have no centralized chieftaincy, hereditary aristocracy, or kingship customs, as can be found among their neighbors. Instead, the responsibility of leadership has traditionally been left to the village councils, which include the heads of lineages, elders, titled men, and men who have established themselves economically within the community. It is possible for an Igbo man, through personal success, to become the nominal leader of the council.

As a result of regional and political fragmentation, which is mirrored in the several distinct languages traditionally spoken by the hundreds of different village groups, it would be reductionist to attempt to illustrate the traditional religious practices of the Igbo
as a whole. Before the influence of Europeans and Christian missions, however, most Igbo practiced some form of ancestor worship, which held that in order to gain success in this world, one must appease of the spirits of the deceased. This might be accomplished in any number of ways. One of the primary ways of showing respect for the dead was through participation in the secret men's society, Mmo, which is the name used only in the northern part of Igbo land. In other parts, similar societies exist under different names. The second level of initiates was responsible for carrying out the funeral ceremonies for the deceased and inducting the departed spirits into the ebe mmo, so that they would no longer cause mischief in the village.



By Steve foreman ismael

Mambila

Cameroun, Nigeria 

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Wooden statues are carved to represent the ancestors, and masks that are worn on the top of the head are carved for use in initiation. Most of these are characterized by red ocher paint that is applied with white chalk on a soot blackened background
Linguistic evidence indicates that Mambila ancestors were members of the original Bantu
linguistic split that occurred approximately 2,000 years ago. It is also probable, given the close similarities between languages spoken in the immediate area of northern Cameroon and adjacent Nigeria, that the split occurred in this very region. Descendants of the Bantu have expanded across Africa to the eastern coast and south to the Cape in the years since that split occurred. The Mambila themselves moved slightly southwards as a result of Fulani pressure from the North in the 17th and 18th centuries.
Political authority within individual communities is invested in a hereditary headman, who is assisted in his duties by a council of elders. The Bamilike are matrilineal to a higher degree than most of their neighbors. Children become the property of the woman's family and are often cared for and adopted by the mother's brother. There are al
so secret masking societies, which contribute to community social order through initiation and public education.
Most of the people in this region have been influenced to some degree by the Moslem Fulani, and the Mambila are no exception. They have not forgotten their practice of commemorating and remembering the ancestors through sculpture and prayer. Both Moslem and Mambila religions exist side by side, each one serving its own purpose.

By steve foreman ismael











Art, Culture, Actuality, Tourism: DOGONMali, West africaCel whatsapp +5521981838334...

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: DOGON Mali, West africa Cel whatsapp +5521981838334 Mail: laquintine@gmail.com   The Dogon are best known for their extens...

DOGON

Mali, West africa

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 The Dogon are best known for their extensive carving of masks and wooden figurative art. The primary colors used by the Dogon are usually red, black, and white, and popular patterns include spirals and checkerboard motifs, both of which can be traced to their origin stories.
Early history is informed by oral traditions, which claim that the Dogon originated from the west bank of the Niger River (10th to 13th centuries). They emigrated west to northernkibsi. Around 1490, they fled a region now known as the northern Mossi kingdom of Yatenga when it was invaded by Mossi calvary. They ended up in the Bandiagara cliffs region, safe from the approaching horsemen. Carbon-14 dating techniques used on excavated remains found in the cliffs suggest that there were inhabitants in the region before the arrival in the Dogon, dating back to the 10th century. Those Dogon who did not flee were incorporated into Mossi society and were known as the nyonyose, or descendants of the first inhabitants.
Burkina Faso, where local histories describe them as

Social stratification among the Dogon involves a complex ordering of individuals based on their position within various social groups defined either by descent or locality. Groupings include clan, village, patrilineage, and, for men, an age-set or -grade. Each of these groups is hierarchically ordered based on age and the rules of descent, and all of the group levels interact with one another, so that one who is generally well respected within the family will most likely hold an important position within society.



Dogon religion is defined primarily through the worshiping of the ancestors and the spirits whom they encountered as they moved across the Western Sudan. The Awa society is responsible for carrying out the rituals, which allow the deceased to leave the world of the living and enter the world of the dead. Public rites include bago bundo (funerary rites) and the dama ceremony, which marks the end of the mourning period. Awa society members are also responsible for planning the sigui ceremonies, which commence every sixty years to hand on the function of the dead initiates to the new recruits. All of these rites involve masking traditions and are carried out only by initiated males who have learned the techniques needed to impersonate the supernaturals. The leader of the Awa society is the olaburu who is a master of sigi so (the language of the bush). The society is divided in accordance with age-grades, ignoring traditional lineage and hierarchical ordering within the village.

By Steve Forman ismael and thank +BELL CEBALLOS  for all your supportsource Africauima 

Art, Culture, Actuality, Tourism: MASQUE BOZOMali et Niger, Afrique de l'ouestCel wh...

Art, Culture, Actuality, Tourism: MASQUE BOZOMali et Niger, Afrique de l'ouestCel wh...: MASQUE BOZO Mali et Niger, Afrique de l'ouest Cel whatsapp +5521981838334 Mail: laquintine@gmail.com Les bozo consti...

MASQUE BOZO

Mali et Niger, Afrique de l'ouest

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Les bozo constituent un groupe spécifique n'ayant avec les populations qui les environnent que quelques affinités peu suffisantes pour les assimiler complètement à celles-ci. C'est à tort que d'aucuns ont qualifié les bozo de gens de caste dans toute l'acceptation de cette appellation, car, d'origine noble et devenus émigrants à l'issue de la décadence de l'empire du Ghana dont ils faisaient partie, ils ont choisi d'être pêcheurs, parce que s'étant trouvés au bout de leur errance aux bords du Niger ils ont entrepris alors d'exploiter les ressources de ce fleuve pour subvenir à leur subsistance. 


Ensuite, améliorant peu à peu leurs techniques, ils firent, en fin de compte, de la pêche leur principale activité à laquelle ils ajoutèrent quasi-monopole de la batellerie. C'est ainsi qu'ils devinrent les " maîtres de l'eau ". Puis empruntant aux aborigènes des lieux où ils se fixèrent certaines des coutumes de ceux-ci, ils les combinèrent avec celles qu'ils avaient rapportées de leur pays d'origine et créèrent ainsi des traditions distinctes dans une large mesure, de celles des grands groupes ethniques.Dans la région de Mopti, tout juste à l’ouest du pays Dogon et au-dessus de chez les Bambara, les Bozo constituent un groupe bien spécifique. Ils ont si peu d’affinités avec les populations qui les environnent qu’il ne serait pas raisonnable de les assimiler complètement à celles-ci. 


Anciennement structurés en groupe sous la forme d’une société donnant pouvoirs à une sorte de noblesse, laquelle émigra à l’issue de la décadence
de l’empire du Ghana au XIe siècle dont ils faisaient partie, les Bozo devinrent pêcheurs ; car s’étant trouvés au bout de leur errance aux bords du fleuve Niger, ils entreprirent alors d’exploiter les ressources de ce cours d’eau d’abord pour raison de subsistance. Au fil du temps, leurs techniques s’améliorant, la pêche devint leur activité principale. Et à force de navigation sur le fleuve, ils ajoutèrent à leur carrière le quasi-monopole de la batellerie. C’est ainsi que l’ont dit des Bozo qu’ils sont « les maîtres de l’eau ». Durant ce temps, empruntant aux aborigènes des lieux où ils se fixèrent certaines des coutumes de ceux-ci, ils les combinèrent avec celles qu’ils avaient rapportées de leur pays d’origine. D’où cette importante distinction de leurs traditions d’avec celles des grands groupes ethniques qui les entourent.

 On relève notamment de nombreux masques utilisés pour les prières-incantations des pêcheurs. Avant de mettre les pirogues sur l’eau, ils tentent de dominer les pouvoirs des esprits malfaisants et de s’attirer les bonnes grâces des bienfaisants. Parfois ils sacrifient un bélier, animal primordial et même déifié chez les Bozo, au-dessus des eaux du fleuve. Les marionnettes jouent un rôle important chez ce peuple, éducatif et aussi ludique : Appellées Sogow, elles sont mises en mouvement lors de contes relatant les forces de la nature, les génies de la brousse, le monde invisible chez les animaux et les humains. Les Manin sont d’autres poupées utilisées pour des contes d’initiation à la maternité. Ces spectacles de marionnettes sont d’une grande importance dans la société Bozo : les spectacles de la journée se nomment Tlefedow, ceux du soir, Sufe Dow. Parfois, ce sont les Dji Kan Do, des marionnettes en mouvement sur des pirogues le long du fleuve. 

Les spectateurs suivent le spectacle itinérant en marchant en procession le long de la rive. Les Bozo, qui sont les plus anciens occupants de cette région du Mali, tous pêcheurs et bateleurs selon la tradition, assurent qu’ils sont nés des « premières jumelles ». Ils rendent un culte au génie de l’eau Faro. Le bélier est un animal valorisé dans toute cette région. Selon les Bozo, il aurait été sacrifié une première fois par Faro, pour réparer les fautes commises par Mousso Koroni, l’ « antique petite femme ». Alors, à une ère de désordre, de violence et de stérilité, succéda une période de prospérité, d’ordre et de paix.



By Steve Foreman ismael


Masque KUBA

République Démocratique du Congo, Afrique centrale
Peuples voisins: Tshokwé, Luba

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Masque des Kuba Kété (ou Bakété) établis au sud du royaume de Kuba en République Démocratique du Congo : Ce masque casque de funérailles nommé Ngita.



Les Kuba sont le groupe le plus prolifique du Kasaï occidental. L'art Kuba s'est principalement développé autour de la personne royale. Cette culture prestigieuse, rendue célèbre par ses masques, ses statuettes royales et ses "velours du Kasaï" est aussi riche de magnifiques costumes de cérémonie. La production de masques qui trouvent leur identité lors des rites de passage est un des éléments les plus remarquables de l'art Kuba. Hélas, hormis les masques royaux un peu documentés, notamment dans l'excellent livre de Joseph Cornet "Art Royal Kuba", nous n'avons pas trouvé d'autres sources pour les masques secondaires.


 Tout comme les gros masques royaux, ceux-ci sont très élaborés et servent d'objets de pouvoir, et de monnaie d'échange entre les groupes.



By steve Foreman Ismael
Source #africanmask


Punu

Gabon, Congo: Central Africa
neighboring peoples: Ashira, Mpongwe, Kota, Fang, Kongo

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The most common types of objects found are carved masks, which have been stylistically compared to Japanese art. They also carve standing reliquary figures, which watch over the bones of the deceased.

Although not much is known about the history of the Punu, linguistic evidence suggests that they moved into their current location from an area to the north, possibly driven southward by the Kota and Fang who moved into the area just north of Punu territory in recent centuries. This area had been occupied by various Pygmy peoples prior to Bantu expansion. Punu art forms suggest a connection with their neighbors that may have emerged from a shared history or simply through contact.


The Punu live in small villages in the Ogowe River Basin that each include several lineages and are led by a individuals within the community who have inherited their position matrilinearly, rather than by a centralized force.
                                            


There is very little known about the Punu religion, but similarly to their neighbors to the north, the Fang and Kota, the Punu carve wooden reliquary figures which are stylistically different, but similarly attached to a basket carrying the bones of individual family ancestors. This seems to indicate a similarity in religious practices in regard to ancestor worship. There is also an abundance of female masks in this area. Several reports from early travelers in this area link those masks to the Mukui society, about which very little is known. Other reports link them to dances celebrating the female ancestors of the Punu peoples.








"Today the 2nd november is my birthday. Thank you everybody for your wishes, thank you to still follow me and share the link of our blog. We keep in touch. Be blessed"
By steve foreman ismael
source africauima